Zuphil
Messages : 22 Date d'inscription : 12/07/2011
DESCRIPTION DES PERSONNAGES Guilde perso principal:
| Sujet: La violoniste Mer 31 Aoû - 3:36 | |
| La violoniste
- La violoniste aux cheveux blancs ! Autrefois Aveuglé par un sortilège puissant, elle est devenue non voyante pendant un certain temps, qui suite à ça, elle apprend toutes sortes de choses que ses oreilles ne pouvaient encore entendre. Avant elle était médecin pratiquante d'anciennes méthodes des anciens " Ecclésiastique ". Renvoyé à cause de son handicape. Elle c'est promis qu'une fois la vue retrouvé qu'elle reviendrait au saint de la Cathédrale afin de prier à nouveau cette prière.
Je ne sais, Lumière, si ces mots Monteront jusqu'au ciel Si tu entendras tout là-haut Ce très humble appel car en toi j'espère toujours Que dans le cœur de la Cathédrale Les bannis ont droit d'amour
Protège Lumière Les malheureux Éclaire la misère Des cœurs solitaires Nulle âme à part moi Ne les entendras Si tu restes sourd Aux mendiants d'amour
Je ne veux n'y or n'y gloire Je veux pas non plus qu'on honore un jour ma mémoire Faites qu'ont les aiment lumière immortelle Ils implorent ta grâce, ô reine éternelle
Entends pour mes frères Cette humble prière Car tous les miséreux Sont enfants de toi Lumière Un matin d'hiver Un matin des plus froids d'hiver nous étions Berceau-de-L'hiver. Aujourd'hui ce n'était pas le coq qui réveilla le camps, mais une jeune fille âgée de vingt ans. L'étui de son violon en main, elle grimpa sur une des tours de garde qui sera la première éclairée par le soleil. Le visage et les oreilles rougies par le froid, frottant ses mains l'une contre elles afin de les réchauffer, expirant cette légère fumée blanche crée par l'humidité et la fraicheur de la température. Elle était positionnée afin que sa musique pénètre toutes les oreilles aptes à l'entendre.
La voix tremblante par la froid, elle ouvrit la bouche afin de prononcer " c'est l'heure " et elle commença sous le regard des gardes de patrouilles de nuit une de ses première chansons.
Le jour se lève, adieu beaux rêves ! Le Berceau s’éveille en plein soleil Du pain au miel, y’a rien de tel Pour sortir d’un profond sommeil Bienvenue au Berveau Celui de l'Hiver ! Vous allez correspondre Avec la terre entière
L’hiver rude, les champs sont blancs Du nord au sud, la terre a la couleur du vent Les oiseaux fuient vers la baie L’ours endormi, dans son abri, attend des jours meilleurs La voix de l’instinct fera renaître la vie Si j’écoute le mien, je saurai demain qui je suis
Au seuil de mon avenir J’observe les feuilles, que veulent-elles me dire ? Où est la voix qui devait me conduire ? J’espère un jour vivre à mon tour l’amour
Ma vie m’entraîne, matin et soir Vers des bonheurs auxquels je dois dire au revoir Chemin faisant, je dois pourtant trouver ma voie Mais chaque choix ne dépend que de moi Le col des plus hautes montagnes avaient en guise de couverture, des nuages coloré d'orange et de jaune , Melizia éblouie par cet éclairage qui lui déposa une légère silhouette d'ombre derrière elle. Inspirant avec chair de poule c'était vraiment le bon moment, il était temps de commencer, ce qu'elle fit immédiatement une fois après avoir dégainé son archet qui lui caressa déjà les cordes de son violon sous les ordres des mouvements de sa main. Elle était en parfaite harmonie avec les rayons du soleil qui éclaira petit à petit toute la région, on pouvait même croire que c'était le violon lui même qui leva le soleil de son lit. Sous l'effet du mélange de certains secteur encore fait de nuit et d'autre de jours, on apercevait Melizia comme si qu'elle flottée dans les airs à quelques centimètres du sol. Sous l'effet de la musique tout le monde se réveilla dans la bonne humeur, le patrouilleur de nuit a coté de Melizia qui lui ne l'avait pas lâché du regard, s'étira bien doucement toujours sous le charme de cette vue imprenable et de ce son inoubliable. Merci à vous mademoiselle Lavigne, je pense que je peux me coucher avec le sourire aujourd'hui, votre aire m'aidera a trouver le chemin de la route de mes plus beaux rêves. Prononça t'il avant de descendre l'échelle de la tours une fois le garde de jours arrivé . Le cœur réchauffé, le soleil bien éveillé, elle n'avait déjà plus froid et la vie reprit son cours au Berceau de l'hiver. Une fois sa musique terminée et tout le monde bien éveillé. Melizia enferma son violon dans son étuis. Quand un jeune adolescent accourut aux pieds de la tours, émettant de rapides essoufflements .
- Mel' MEL' ? - Oui Xavier ? - C'est ton frère , vite il est dans l'auberge... Il a besoin de toi. - Comment ça ? * abandonnant son violon, elle courut très rapidement à l'auberge * Arrivée à l'auberge, l'humaine était la devant un corps vêtu d'une couverture allongé sur une table. C'était bien son frère agonisant à cause d'une blessure à la jambe, un gobelin chaman était occupé à essayer des sortilèges chamanique sur le blessé. Les yeux écarquillés déjà rougit par des larmes. Melixia fixait son frère sans savoir quoi faire. Puis elle avança pas à pas, levant sa main la redressant sur la hanche de celui qu'elle aime. Pensant pouvoir l'aider, elle ferma ses yeux, brisant la coulée de l'arme qui tombe sur le draps chauffant du gobelin couché sur le table. Avec une voix triste et faible elle prononça - Ne meurs pas maintenant, ne m'abandonnes pas. J'ai encore besoin de toi. Toi que j'appelais mon frère. Malgré nos différences, je ne peux te laisser partir. Car si notre histoire n'avait jamais existé , Dans mes rêves, nuits et jours, je t'aurais inventé. Mère dit que ma médecine ne peut rien faire pour toi n'y notre amour. Souhaites tu vraiment nous abandonner maintenant ? Si cela est réellement ton choix alors je l'accepte avec regret, mais je te promet de partir et d'apprendre tout en ce qui concerne la médecine pour éviter la blessure qui me hante aujourd'hui. Je ne peux encore cette morsure mais je sais qu'un jour je pourrais le faire car J'apprendrais tout pour que personne n'ai la peine que j'ai maintenant. Mais avant de partir, laisse moi te dire une dernière chose sache que... l'humaine prit la main du gobelin mourant sous les yeux de son père et sa mère adoptive. Les yeux de l'humaine changeaient de couleur, une ombre entoura sa main gauche qui venait de se déposer sur le visage du futur défunt. La fumée légèrement sombre pénètre dans la peau de la tête du gobelin, Melizia espéra de laisser ce dernier message à son frère Avec toi j'ai tout affronté Les hivers, les blizzards Notre amour nous protégeait Du froid de l'hiver Mais soudain tout est changé Nos deux chemins séparés
L'horizon s'est refermé Non pas question d'accuser Qui a tort qui a raison Quel destin est le bon Je l'ignore mais j'ai compris Je ne dis pas adieu A un frère qui part Car ce n'est pas un adieu Mais rien qu'un au revoir Elle observa la main de son frère gobelin quitter sa force ne laissant plus aucune trace de vie. Avec regret elle brisa cette prise, gardant son regard triste sur le sol, elle resta encore deux jours pour les obsèques, elle embrassa sa famille adoptive puis avec deux trois affaires , elle prit le chemin à pied en direction d'hurlevent
Le très long voyage ! Deux jours après. Vers midi, Melizia avait encore le cœur refroidie par la mort de son frère. Elle n'avait encore réussi a dormir, sauf à l'aide de légères petites siestes. Toujours en boule dans son lit, observant des plateaux de repas qui certains dates de plusieurs heures. Venant se déposer un à un apportés par ses amis qu'elle refusa de toucher. La porte s'ouvrit et une petite créature verte entra dans la chambre de Melizia, avec une voix douce, la mains chaude caressant ses cheveux blancs, elle s'allongea, elle aussi dans le lit, auprès de Melizia afin de cajoler sa fille. Ses yeux se remplissant petit à petit d'un nouveau lit de larmes, ses lèvres tremblantes elle s'effondra de chagrin dans les bras de sa mère. - Du calme ma puce, du calme, ça ira. On est là pour partager cette épreuve, mais tu dois te rationner. Viens donc manger avec nous dans une heure, ça nous et te fera du bien. On partage tous cette dure épreuve, mais on ne doit pas se mettre de coté, je ne pense pas que c'est ce qu'il voulait. - Vous avez raison mère, je vais vous rejoindre . - Promis ? - Promis ! La gobeline se redressa, embrassa la chevelure de sa fille puis s'en alla , refermant la porte derrière elle avec délicatesse. Quand à Melizia, Elle frottait ses yeux un à un avec le dos de sa main, elle se leva puis se dirigea vers son armoire pour commencer sa valise. [ en cours d'écriture ] | |
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