Histoire d'une vie...

Premier volet:

Les premières lueurs d'une vie peu commune...

C'est dans une forêt lumineuse, aux pins argentés, qui ne connaissait aucune ombre sous la tutelle d'une grande cité voisine, qu'un jeune enfant naquit, auprès d'une famille peu ordinaire, d'une mère haute-elfe, et d'un père originaire du Nord. Dans une ferme, chaleureuse, entourée d'un campement rappelant une vie de nomade particulière, celle des protecteurs d'un monde, enclin à une destruction dans les tourments des guerres futures. C'était une terre où régnait alors un sentiment d'harmonie croissante, d'une chaleur incontestable, et d'un bien-être des plus vigoureux, autour de ces hommes et femmes, au courage et aux idéaux les plus sincères.

De toutes les races des royaumes de l'Est, ce groupe de personnages, aux caractères les plus diversifiés, étaient de grands Hommes. De leurs manières, ils subtilisaient l'ensemble de leur environnement de part leurs auras les plus diverses, d'un charisme époustouflant.

Dans cet endroit, où régnait une odeur de parfums naturelles, il y a un peu plus de trente et un ans. Et dans le stress des cris d'une femme agonisant, Les pleurs d'un bébé s'époumonant furent entendus dans les bois environnants, et le soulagement d'une famille entière, comprenant toutes les personnes présentes, se fit sentir, et il en est venu de grands enlacements amicaux, les pleurs d'un père faussement bourru, et les rires d'amis de longues dates, pour saluer la naissance d'un nouveau né.

-"Qu'il est beau!"
s'écria le père, Galvar de son prénom, pleurant encore de chaudes larmes de joie.

-"Arrête! Tu vas le faire tomber!"
s’écrièrent en unisson, toutes les personnes présentes, hormis la mère, souriante, reprenant son souffle.

-"Laissez-le donc apprécier ce moment... Cette rencontre, entre un père, et son fils"
Dit Svelanya, la mère, fatiguée après un accouchement de près de trente heures.

-"Bwahahahahahaaaaa!"
s'esclaffa le père, tellement heureux, que les larmes s'étaient transformées en sanglots de joie.

-"Tu vas lui faire peur!"
lui dirent les amis environnants.

-"Hiii-héhéhéhééé"
fit le nouveau né, éclatant de rire d'une voix aigu devant un père tout ce qu'il y a de plus burlesques.

Ce qui s'en suivit fut les rires de tous les amis présents, sauf d'un nain, souriant du nom de Bogan qui demanda à Svelanya:

-"Comment allez-vous nommer c'petit bonhomme?"

-"Galvar et moi, nous avons décidé de lui donner un nom, qu'il sera, nous l’espérons, en mesure d'honorer."
Dit elle en souriant.

-"C'est à dire?"
interrogea le nain.

-"Andüriel, il s’appellera Andüriel"
Dit-elle en souriant légèrement, regardant son fils.

-"Je vois..."
Dit Bogan, regardant Andüriel à travers la fumée de sa pipe, souriant, puis soupirant sa fumée, les yeux clos...

Deuxième volet:

Les vertus de la jeunesse...

Dans des terres désertiques, délaissée de toutes civilisations, au sud du Loch Modan, où les bêtes pullules et où les sombrefers s'agitent. Dans cette contrée infâme, où la chaleur carbonise toutes vies végétales, un campement de nomade s'affaire à monter son feu de joie.

Un nain supervise cette expédition...:

"Plantez vos tentes, et préparez la caravane, les protecteurs, au pas de course organisez vos patrouilles par ordre de deux, inspectez la zone, nous commencerons les recherches à 14h...!" criait Bogan, le nain semblait avoir prit quelques années, mais avec l'oeil du faucon et une pinte à la main, il dirigea cette expédition à sa destination.

Bogan se dirigea vers la première tente, il s'y installa, et posa ses affaires, il tendit l'oreille vers l'extérieur de la tente, d'où quelque chose semblait s'agiter.

"J'en ai eu un!! J'en ai eu un!!" s'écriait une petit vois fluette a une centaine de mètres du campement, zone dont une petit silhouette s'approchait...

"Viens par là, bonhomme! donne le nous!" demandèrent deux chercheurs au petit gars qui courrait tout content d'avoir trouvé un objet.

"Nan, j'veux le montrer à Bogan, pas à vous!" criait la petite voix du jeune garçon qui s'approchait de la tente du chef de section.

"!!!" s'écrièrent les chercheurs avec frustrations et stupéfactions.

Le petit gars courrait à folle allure vers la tente... Bogan, voyant le petit arriver comme une flèche, se décala légèrement, et il attrapa le gamin à son entrée dans la tente.

"Que fais-tu Andüriel? Tu leur donne tu fil à retordre, alors qu'ils sont en train de te former..." dit le nain qui fit un signe aux chercheurs, devant lequel ils rebroussèrent le chemin.

"J'ai trouvé ça! ça a tapé ma pelle! Un bouclier nain, sombrefer, dans les 228 ans, apparemment lié à la guerre des trois marteaux! c'est un cadeau pour toi! tiens!" lança Andüriel, comme si de rien n'était, pas sans étonnement auprès de Bogan qui pensait:

"Il est capable d'émettre un diagnostic aussi rapide, à l'âge de 6 ans... Autant sur le plan physique, psychologique et mental, ce garçon est vraiment stupéfiant..." tout en faisant mine d'écouter le monologue du petit, le nain le regardait avec bien plus d'étonnement.

"... Et puis c'est pas tout!... Bogan? Pourquoi tu me regardes?" interrogea Andü'.

"Pour rien, mon petit, dit, tu n'aurais pas oublier une règle de base?" dit le Nain en souriant.

"Ah oui, pardon!... hum hum... Brünnhiver aux rapports, Chef Bogan! on vient de trouver un objet identifié! Je viens vous l'offrir car vous êtes un nain, et ça c'est d'la feraille naine! Tenez chef Bogan, rapports terminés!" annonça le bambin.

"Sacrebleu! Une relique, bravo mon petit, retourne donc aider tes mentor, et ramènes en moi d'autres.' ordonna Bogan.

"Chef, oui chef!" cria le petit Andü' qui reparti bosser.

"Mmh, mh, je vois, je vois..." murmura Bogan.

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